Una Journée en France

L'alumnat de francès va visitar Perpinyà el dia 6 de novembre de 2009, un dia abans de la commemoració del 350è aniversari del Tractat del Pirineus. Si en voleu més informació podeu gaudir del vídeo.

El Mercat de Perpinyà

El dia 6 de novembre, els alumnes de 2n, 3r i 4t d'ESO de francès vam anar d'excursió a Perpinyà, França.

Vam sortir de Montornès a les 8 del matí i vam arribar allà cap a tres quarts d'11. Abans, però, vam parar a esmorzar a una àrea de servei i, seguidament, vam agafar l'autocar i vam seguir fins a Perpinyà. En arribar, l'autocar ens va deixar a la Plaça Aragó i, a partir d'aquest punt, ens vam posar en marxa cap al mercat.
Era la primera vegada que la majoria de nosaltres anàvem a França, per tant, era una experiència nova per a tots.
Ens vam fixar que allà la gent i els carrers eren molt diferents dels nostres. La gent, en general, era molt educada, els homes i les dones vestien d'una manera molt formal, molt empolainada.
Vam saber que Perpinyà és considerada la capital de la Catalunya Nord.
El que més ens va sorprendre va ser les llengües que parlen. Són tres: el francès, el català i el castellà.
Gràcies a això, no vam tenir gaire dificultat a conversar amb la gent d'allà.
Una vegada al mercat, cada grup d'alumnes va agafar el seu dossier i es va posar a treballar. Els objectius d'aquest treball eren aprendre a fer preguntes en francès, aprendre el vocabulari de les fruites i llegums (practicat a classe), descobrir nous productes, els seus noms i el seu origen, i, per últim, conversar amb els comerciants, que, per cert, un d'ells ens va comentar que “els melons d'Espanya eren els millors”. Així que els nostres melons triomfen a Perpinyà, a França!
Quan vam acabar de treballar i de xerrar amb els comerciants, vam fer un volt per la plaça del mercat, a on hi havia diferents botigues, d'alimentació, de cosmètica, etc.
I aquí acaba la nostra experiència al mercat de Perpinyà.
Nermin Koubiss Ajoub et Mireia Toledo Manrubia 2n B d'ESO

PALAIS DES ROIS DE MAJORQUE

L'entrée du palais est protégé par un fossé (1) et une barbacane crénelée (2). La porte d'origine était percée du côté sud de la Tour de l'Hommage (3) adossée à l'étage à la salle du trône (4).
Dans l'aile sud, la Grande Salle, l'aula (7), de style gothique méridional, accueillait banquets, conseils royaux et parlements. Ses murs peints étaient tendus en tapisseries. Elle conserve sa cheminée(photo) près de laquelle un escalier communiquait avec les cuisines au rez-de-chaussée.On accède à la chapelle haute (11), dédiée à la Sainte Croix, par une galerie.

Sa façade en marbre rose (photo) s'orne d'un portail en plein cintre qui reçoit une porte de style mudéjar. A l'intérieur, les clefs-de-voûte et les culs-de-lampe sont ornés de saints et d'anges. Une frise inspirée de la calligraphie arabe (photo) court au dessus de fausses tapisseries peintes. De part et d'autres du choeur, des trompes d'angle soutiennent de fausses baies. Des meurtrières protègent les vraies fenêtres.
Au-dessous se trouve la chapelle Sainte Madeleine (12) prolongée par la sacristie. Ici, les saints et les anges sont remplacés par des fleurs, des feuilles et des fruits sculptés et peints. Le carrelage "mudéjar" d'inspiration hispano-mauresque et la frise (grecque) donnent au décor un caractère méditerranéen. Les vitraux des chapelles ont été restaurés. On suppose que la chapelle haute était réservée au roi et aux grandes célébrations tandis que la chapelle basse servait à la reine.La tour des chapelles domine les appartements royaux qui communiquent par un couloir (9). Le souverain logeait côté nord (10) , son épouse côté sud (8). La loggia de la cour de la reine conserve un superbe plafond. Jusqu'à la construction de la citadelle, un pré séparait la ville du palais, au-delà du fossé nord. A l'est se trouvaient une figueraie et une oliveraie. Au midi, un verger de treilles, d'orangers et de citronniers s'étendait entre le bâtiment et le rempart sud de la cité.
1.HISTORIE DU PALAIS
Le palais est construit dans le dernier quart du XIIIème s. par le roi Jacques II de Majorque qui s'installe à Perpignan (1276). Entouré de jardins, il s'élève sur une colline au sud de la ville. A près 35 ans de travaux, le chantier s'achève par la consécration des chapelles (1309).
Le 21 août 1262, Jacques Ier le Conquérant, roi d'Aragon, lègue à Pierre, son fils ainé, l'Aragon, Valence et la Catalogne. Il donne à Jacques II, son cadet, le royaume de Majorque (îles Baléares), les comtés de Roussillon et de Cerdagne et la seigneurie de Montpellier. Les "Usages de Barcelone" sont maintenus dans les deux royaumes.
Contesté par les rois d'Aragon qui confisquent momentanément les Baléares, le nouveau royaume connaît des débuts difficiles. Il se développe ensuite rapidement sous les rois Jacques II (1276-1311) et Sanche (1311-1324). Les villes, notamment Perpignan connaissent un essor remarquable. Les grands chantiers se multiliplient : palais, églises, couvents. Les souverains favorisent l'industrie et le commerce. A Majorque et à Collioure transitent des dizaines de navires qui sillonnent toute la Méditerranée. Le royaume atteint son apogée pendant la régence de Philippe de Majorque (1324-1329) et sous Jacques III (1329-1349).
Le développement de la draperie roussillonnaise symbolise le dynamisme majorquin. A peine présents au XIIIème s. à Prats de Mollo et perpignan, ville de foire où circulent draps flamands et languedociens, les drapiers prospèrent au XIVème s. Par leur savoir-faire marchand et technique, en 25 ans, pareurs et tisserands catalans s'imposent à Valence, à Majorque, en Sicile.
Le 25 octobre 1349, chassé de son trône par Pierre IV d'Aragon, Jacques III meurt sur le champ de bataille de Lluchmajor. Ses domaines catalans réintégrèrent l'Aragon tandis que la France acquiert Montpellier. Dès lors, l'ancien Palais des Rois de Majorque héberge les souverains aragonais pendant leurs séjours perpignanais et le pape d'Avigon Benoît XIII y réside en 1408.
Le 9 mai 1462 (Traité de Bayonne), le roi Jean II d'Aragon, confronté à l'hostilité des Catalans, obtient l'appui du roi de France Louis XI à qui il donne en garantie les revenus du Roussillon et de la Cerdagne, aussitôt occupés par les Français. Pendant 30 ans, complots et rébellions se succèdent, notamment à Perpignan, assiégée en 1463, 1473 et 1474. Pour avoir les mains libres en Italie, Charles VIII rend les deux comtés en 1493.

Més informació a la web de l'institut Una Journée en France

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